ne devriez pas regarder de trop près ce que je tricote. »Un peu confuse, la mère supérieure continue sa tournée et s'arrête devant la cellule de Sœur Marie-Anne. « Bonjour Sœur Marie-Anne, je vous trouve rayonnante aujourd'hui et votre peinture est vraiment magnifique ! » Sœur Marie-Anne répond : « Merci, ma Mère. Mais je dois vous avertir, ne regardez pas de trop près ma toile. » Maintenant intriguée, la mère supérieure continue et arrive devant la cellule de Sœur Thérèse. « Bonjour Sœur Thérèse, comment allez-vous ce matin ? » Sœur Thérèse lui répond avec un sourire : « Oh, ma Mère, je vais très bien. Mais je dois vous dire, si vous regardez de trop près le pot de confiture sur ma table de nuit, vous risquez d'être surprise.
LA Mère supérieure du couvent, réveillée de bonne humeur, décide de faire le tour des cellules. « Bonjour Sœur Marie-Josèphe, je vous trouve très bien aujourd'hui et ce que vous tissez est très joli ! » « Merci ma Mère, vous aussi vous êtes très bien, mais je pense que vous
ne devriez pas regarder de trop près ce que je tricote. »Un peu confuse, la mère supérieure continue sa tournée et s'arrête devant la cellule de Sœur Marie-Anne. « Bonjour Sœur Marie-Anne, je vous trouve rayonnante aujourd'hui et votre peinture est vraiment magnifique ! » Sœur Marie-Anne répond : « Merci, ma Mère. Mais je dois vous avertir, ne regardez pas de trop près ma toile. » Maintenant intriguée, la mère supérieure continue et arrive devant la cellule de Sœur Thérèse. « Bonjour Sœur Thérèse, comment allez-vous ce matin ? » Sœur Thérèse lui répond avec un sourire : « Oh, ma Mère, je vais très bien. Mais je dois vous dire, si vous regardez de trop près le pot de confiture sur ma table de nuit, vous risquez d'être surprise.